Le syncrétinisme global et les trois aveugles

On a tous déjà entendu l’histoire des trois aveugles qui touche un éléphant. L’un touche la trompe et dit “c’est de l’écorce, c’est un arbre !”, un autre touche l’oreille et dit “mais non c’est un éventail !” et le dernier touche la queue et s’écrit “Houla mais nan c’est un serpent !”.
Cette histoire est fréquement employé par les partisants du synchrétisme générale pour dire que “nous détenont tous une part de la vérité”.
Hors si l’on applique leur méthode à cette histoire en tentant de contenter tout le monde cela pourrait nous conduire à la conclusion qu’il sagit d’un bananier, avec un petit trou dans le tronc où vit un serpent. Nous avont l’écorce, les grande feuilles servant d’éventail et le serpent. Et là nos trois aveugles s’ecrit “Bon sang mais c’est bien sûr !”.
Hors c’est faux. Pour mémoire c’était un éléphant !
Le fait est que chacun des trois aveugles à tord. Chercher une solution qui donne raison à trois opinions faux ne peut conduire qu’à une conclusion fausse.
Pour leur démontrer que c’est un éléphant il faudrait pouvoir leur expliquer
pourquoi ça ressemble à de l’écorce mais ça n’est pas de l’écorce,
pourquoi ça ressemble à un éventail mais ça n’est pas un éventail,
pourquoi ça ressemble à un serpent mais ça n’est pas un serpent.
L’explication ne leurs paraitra probablement pas aussi simple et crédible que celle du bananier percé.

En réalité l’histoire ne dit pas que chacun à une part de la vérité, elle dit que l’on peut tous avoir de bonne raison de penser avoir raison et pourtand avoir tous tord.